Comment bien choisir sa dataviz et révéler votre âme d'artiste ?

Tout comme choisir le bon filtre pour votre selfie peut faire ou défaire votre publication Instagram, choisir la bonne dataviz pour vos données peut transformer des chiffres ennuyeux en une aventure graphique mémorable et percutante. Après tout, qui ne rêve pas de rendre ses données sexy ?

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Après avoir passé des heures à scruter vos données, c'est l'heure fatidique de choisir la meilleure manière de les présenter. Avant de vous lancer, suivez deux étapes fondamentales :

Comprendre votre audience : Prenez un moment pour réfléchir à qui va s'intéresser à vos chiffres. S'agit-il de geeks des données ou des novices de la data ? Prenez le temps de définir votre public cible et de comprendre ce qui fonctionne le mieux pour lui.

Clarifier votre message : Avant de sortir votre fichier de données et vos pinceaux d’artiste, demandez-vous, quel est votre but ? Quel est le message principal que vous souhaitez faire passer avec vos données ? Soyez clair, sinon, vos chiffres risquent de rester énigmatiques pour votre public.

Une fois que vous avez défini le message que vous souhaitez transmettre, c'est le moment de choisir votre toile d’artiste, ou plutôt, le type de graphique approprié. Voici quelques options pour composer votre toile :

Diagramme en barres (bar chart) : Voici le super-héros de la dataviz, le champion toutes catégories lorsque vous voulez comparer des catégories ou des éléments distincts. Idéal pour comparer le potentiel de deux futures offres.

Graphique linéaire (line chart) : à utiliser seulement pour montrer une évolution dans le temps, que ce soit pour voir l'évolution de la satisfaction de vos clients mois après mois ou pour comprendre l'augmentation progressive de votre collection de pins.

Diagramme circulaire (pie chart) : Ahhh, le pie chart, le Picasso des graphiques, ou du moins c'est ce que nous croyons. Mais attention, c'est un sujet très controversé chez les dataviz lovers ! Le camembert (pour les intimes) peut en pratique montrer des parts ou des proportions relatives à un tout, MAIS il devrait être évité comme la peste ! Soyons honnêtes, nous ne sommes pas des experts de la géométrie angulaire. L’œil humain a du mal à comparer 2 parts de camemberts entre elles, surtout si elles sont petites. Donc n’utilisez jamais le pie chart. Préférez le bar chart à la place (notre héros, vous l’aurez compris), beaucoup plus précis ! Bon ok, on restera indulgent pour une présentation à votre top management qui trouvera probablement ça joli, mais dans ce cas, limitez-vous à 2 catégories (comme la répartition Homme/Femme).

Nuage de points (scatter plot) : Utilisez-le pour explorer des relations entre deux variables quantitatives. Idéal pour mettre en évidence une corrélation positive entre deux phénomènes comme le nombre de selfies pris et le niveau de bonheur personnel. Ou encore, entre le nombre d’études que vous réalisez avec Igonogo et votre épanouissement professionnel ;).

Carte géographique : Si vous voulez jouer aux explorateurs, c'est la meilleure option pour afficher des données spatiales, comme les villes dans lesquelles on achète le plus de produits bio, ou retrouver vos amis que vous n'avez pas vus depuis des années (mais ça, c’est une autre histoire).

Histogramme : Parfait pour représenter la distribution de données continues, couramment utilisé pour montrer la distribution des valeurs. Par exemple, pour visualiser la répartition des scores de satisfaction des clients d'un restaurant sur une échelle de 1 à 5.

Heatmap : Lorsque vous avez besoin de montrer où ça chauffe, la heatmap est votre amie. Par exemple, pour comprendre en un coup d’œil qu’elles sont les zones les plus explorées sur un objet. D’ailleurs, Igonogo a de quoi satisfaire les aficionados de la heatmap !

Nuage de mots (word cloud) : Utilisez-le pour mettre en avant les mots les plus fréquents dans un ensemble de données textuelles. Ou aussi pour découvrir les mots les plus fréquemment utilisés lors des discussions politiques de la tante Gertrude à Noël.

Une fois que vous avez défini le message que vous souhaitez transmettre, c'est le moment de choisir votre toile d’artiste, ou plutôt, le type de graphique approprié. Voici quelques options pour composer votre toile :

Diagramme en barres (bar chart) : Voici le super-héros de la dataviz, le champion toutes catégories lorsque vous voulez comparer des catégories ou des éléments distincts. Idéal pour comparer le potentiel de deux futures offres.

Graphique linéaire (line chart) : à utiliser seulement pour montrer une évolution dans le temps, que ce soit pour voir l'évolution de la satisfaction de vos clients mois après mois ou pour comprendre l'augmentation progressive de votre collection de pins.

Diagramme circulaire (pie chart) : Ahhh, le pie chart, le Picasso des graphiques, ou du moins c'est ce que nous croyons. Mais attention, c'est un sujet très controversé chez les dataviz lovers ! Le camembert (pour les intimes) peut en pratique montrer des parts ou des proportions relatives à un tout, MAIS il devrait être évité comme la peste ! Soyons honnêtes, nous ne sommes pas des experts de la géométrie angulaire. L’œil humain a du mal à comparer 2 parts de camemberts entre elles, surtout si elles sont petites. Donc n’utilisez jamais le pie chart. Préférez le bar chart à la place (notre héros, vous l’aurez compris), beaucoup plus précis ! Bon ok, on restera indulgent pour une présentation à votre top management qui trouvera probablement ça joli, mais dans ce cas, limitez-vous à 2 catégories (comme la répartition Homme/Femme).

Nuage de points (scatter plot) : Utilisez-le pour explorer des relations entre deux variables quantitatives. Idéal pour mettre en évidence une corrélation positive entre deux phénomènes comme le nombre de selfies pris et le niveau de bonheur personnel. Ou encore, entre le nombre d’études que vous réalisez avec Igonogo et votre épanouissement professionnel ;).

Carte géographique : Si vous voulez jouer aux explorateurs, c'est la meilleure option pour afficher des données spatiales, comme les villes dans lesquelles on achète le plus de produits bio, ou retrouver vos amis que vous n'avez pas vus depuis des années (mais ça, c’est une autre histoire).

Histogramme : Parfait pour représenter la distribution de données continues, couramment utilisé pour montrer la distribution des valeurs. Par exemple, pour visualiser la répartition des scores de satisfaction des clients d'un restaurant sur une échelle de 1 à 5.

Heatmap : Lorsque vous avez besoin de montrer où ça chauffe, la heatmap est votre amie. Par exemple, pour comprendre en un coup d’œil qu’elles sont les zones les plus explorées sur un objet. D’ailleurs, Igonogo a de quoi satisfaire les aficionados de la heatmap !

Nuage de mots (word cloud) : Utilisez-le pour mettre en avant les mots les plus fréquents dans un ensemble de données textuelles. Ou aussi pour découvrir les mots les plus fréquemment utilisés lors des discussions politiques de la tante Gertrude à Noël.

Maintenant que vous avez choisi la toile parfaite pour vos données, quelques conseils pour harmoniser votre palette de couleur :

Simplifiez  au maximum : La simplicité est la clé. N'en faites pas trop.  Le minimalisme est votre ami. Utilisez des légendes et des titres clairs pour guider le lecteur. Un design épuré favorise la compréhension. Laissez les graphiques en 3D et les     dégradés de couleurs à Fox News.

Ne biaisez pas votre data viz : En parlant de Fox News, ne tentez pas de manipuler vos interlocuteurs. Gardez votre axe Y bien ancré à 0 pour éviter les distorsions trompeuses. Laissez la politique aux politiciens et les graphiques aux données réelles.

Utilisez  la couleur judicieusement : La couleur peut renforcer votre message, mais elle peut aussi le brouiller si elle est mal utilisée. Utilisez des couleurs pertinentes pour les données que vous présentez. Un grand classique, les couleurs froides sont généralement associées à du positif (bleu, vert) et les couleurs chaudes à du négatif (rouge, orange).

Cohérence dans le style : Si vous utilisez plusieurs visualisations dans un  rapport ou une présentation, assurez-vous qu'elles soient assorties comme Laurel et Hardy.

Testez  et ajustez : Vous pensez avoir terminé votre toile, demandez l'avis de     vos collègues (ou de votre chat si vous êtes en home-office) pour savoir si votre dataviz est vraiment un chef-d'œuvre. Apportez ensuite les ajustements nécessaires (sauf si les conseils viennent de votre chat).

Une visualisation de données bien choisie raconte une histoire puissante. Alors, faites des choix, choisissez le type de graphique et les couleurs avec goût, et assurez-vous que votre dataviz parle au cœur de vos lecteurs. C’est à vous de jouer, et qui sait, peut-être qu'un jour, vous brillerez tellement que votre grand-tante Gertrude demandera à voir vos dataviz à la prochaine réunion de famille !